La rencontre BDSM bondage dérape

Catégories : Bondage Shibari Kinbaku GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 2 ans

Nous discutions depuis longtemps de bondage, de shibari et parfois même de selfbondage. Sur son profil, il indiquait clairement qu’il était gay ce qui ne me posait aucun problème. En effet, un hétéro peu jouer autour du bondage avec un gay sans pour autant passer sous la couette.

L’idée de nous rencontrer pour boire un verre lors de la soixante et dixième féria de Nîmes m’est venue, cela me permettait de faire sa connaissance et d’être guidé dans la ville. Il a accepté avec grand plaisir de me recevoir. Après avoir déambulé dans la ville, pris quelques bières dans des bars, il m’a proposé d’aller chez lui pour faire un peu de bondage entre-nous. Comme je le trouvais aussi sympa en réel que sur le site, j’ai validé cette idée avec plaisir.

Après un petit voyage en tram, nous sommes arrivés chez lui. Son appartement était très sympa, vaste et avec une chambre dédiée à ses jeux gays. Nous avons joué à pile ou face pour savoir qui serait attaché en premier. J’ai gagné ! Pour des raisons pratiques, et surtout voir si les cordes ne faisaient pas garrot, je lui ai demandé de se mettre en slip et je me suis mis torse nu pour cause de chaleur.

J’avais envie de lui faire un Hogtied à ma façon, c’est à dire, de le faire ramper pour qu’il puisse se libérer à la façon selfbondage. J’ai donc préféré utiliser ses menottes pour les poignets avant d’utiliser des cordes pour lui faire un harnais. Une fois saucissonné avec son sexe tendu à rompre sous son slip, et pour cause, j’avais un peu serré, je me suis occupé de ses chevilles. La première corde m’a servi à les lier sévèrement, la deuxième à les relier à un bâillon.

A la fin de son bondage, je lui ai indiqué que j’allais pirater les bières dans son frigo pendant qu’il ramperait pour venir attraper les clés des menottes à mes pieds. La chaleur et les bières ne font pas bon ménage avec la chaleur. J’étais en pleine forme, ravi de cette première journée en sa compagnie et j’avais envie de délirer un max. Vautré dans son canapé, je me laissais aller à lui dire des inepties du style, « je pourrai profiter de mon petit esclave » ou « j’ai bien envie d’appeler tes copains ». Quand il s’est approché de moi en rampant, je me suis même amusé à poser mes pieds sur lui pour le ralentir dans son évasion programmée. Tout cela n’était évidement que de l’humour.

Max est rapidement parvenu à attraper les clés des menottes. Etant expérimenté en selfbondage, il les a ouvertes sans tarder avant de s’attaquer aux cordes. Je suis allé lui chercher une bière le temps qu’il termine, le pauvre avait quand même eu un peu chaud. Il m’a proposé d’en prendre une par avance en me promettant une terrible vengeance. Comme il affichait un sourire joyeux, je ne me suis pas méfié.

Un quart d’heure plus tard, après être allé « lever la patte » aux toilettes, j’ai du à mon tour me mettre en slip pour être à mon tour attaché. Pour me mettre à l’aise, il m’a demandé de l’aider à faire une sorte de nœud coulant autour de mon sexe mais par dessus mon slip. Une fois fait, il a récupéré la corde et la faire passer entre mes jambes pour la remonter sur mes épaules.

Max est un habitué du shibari, il n’a pas mis longtemps à entraver mes poignets dans mon dos et à me faire un harnais passant au dessus de mes épaules et des seins. Après m’avoir aidé à m’allonger sur le ventre, il s’est occupé de mes chevilles avec une corde qu’il a justement relié à celle de mes épaules. Quand il a tiré dessus j’ai du me cambrer un peu ce qui était assez inconfortable et surtout, appuyait sur mon sexe. Il m’a obligé à écarter les genoux pour l’attraper et le faire passer entre mes cuisses. Qu’il me touche m’a un peu gêné mais ce n’était que le début des hostilités.

J’ai rapidement compris à quoi servait la corde qu’il avait passée autour de mon sexe en faisant un noeud coulant. En effet, après l’avoir passée dans un anneau qu’il a dans son plafond, il a tiré dessus pour étirer ma verge et mes pauvres précieuses.

Quand je lui ai dit que cela faisait un peu mal, il m’a rassuré en me disant que cela ne durerait pas si j’étais obéissant. Entre mes cuisses et juste sur mon sexe, il a glissé un magic wand massager énorme et surtout très puissant. L’effet m’a plu, avec le sexe « bondagé » qui vibre c’est bien bon. Cet espèce d’enfoiré s’est assis par terre en face de moi et a commencé à titiller mes tétons. Cela m’a gêné qu’un homme me fasse ça mais en même temps, entre le bondage, le vibro et ses doigts agiles, je dois avouer que c’était bien bon. Au plus je gesticulais, au plus mes cuisses malaxaient mes précieuses pendant que le vibro titillait mon gland. Max a attrapé un bandeau pour m’aveugler avant de reprendre le malaxage de mes tétons.

Il s’est lancé dans une histoire érotique improvisée où j’avais le rôle principal. Dans son récit, je m’étais fait un selfbondage dans une maison abandonnée et je n’arrivais pas à me libérer. Un chasseur passant par là voulait profiter de la situation et se faire faire une gâterie en échange de son aide pour me libérer. Le mec s’asseyait devant mon visage, sortait sa verge pour m’obliger à la prendre en bouche. Devant ma résistance, pour m’obliger à desserrer les dents, il tirait sur la corde de mon sexe.

C’est justement à ce moment là que Max a tiré sur la corde de mes pauvres attributs coincés et vibrant sous le magic wand massager.

J’étais rentré dans son histoire que j’ai volontairement raccourcie pour éviter les longueurs.

Le chasseur m’a menacé de me suspendre par les couilles si je ne cédais pas et de m’abandonner comme ça. Alors j’ai inconsciemment ouvert la bouche et c’est à ce moment là que j’ai senti la verge de Max y entrer en même temps que ses cuisses serraient ma tête ! ! !

  • Du rêve à la réalité ou du fantasme à la réalité ? M’a demandé Max avant d’ajouter que si je voulais être libéré avant que ses copains arrivent, il fallait que je me presse d’être « gentille ».

Pour m’aider à réfléchir, il a encore tiré sur la corde de mes précieuses avant de me crier « suce moi ou ce soir tu perdras ton pucelage ». J’étais dans une sorte de « subspace » état dans lequel une personne n’a plus tous ces moyens, ne peut plus réellement réfléchir de manière optimale et surtout logique. Alors je me suis mis à faire tourner ma langue autour de la verge. Ce grand perturbateur pervers a appuyé sur ma tête d’une main et sur le magic wand massager puissance 10 de l’autre avec son pied. A ce moment là, je me suis senti femme ou soumise sexuelle, je ne sais plus. Je devais sucer ce mec, je n’avais pas le choix et le pire c’est que je n’étais pas dégoûté. Ce qui devait arriver arriva, il s’est vidé dans ma bouche en serrant les cuisses.

Immédiatement après, il s’est reculé et m’a fait boire un peu de bière pour m’aider à « avaler » et surtout me remettre. Totalement abasourdi, j’étais dans un autre monde pendant qu’il me détachait.

  • Bienvenue dans le camp des bisexuels ! M’a dit Max.

  • Pourquoi tu dis ça ?

  • Parce que tu n’as jamais dit « non arrête » ou « libère-moi ». A priori, quand je vois comment ton slip est taché, cette aventure ne t’a pas déplu.

Que répondre à ça ? Rien à part m’avouer qu’il n’avait pas tord.

FIN

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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sympa
Hummmmm,ça donne envie...!
imagine en plus d etre bonde en couche le pied
Du grand TSM, super récit comme toujours
J'adore cette histoire, un grand merci
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